? Nous sommes très près de la réalité ?
CHARGéde l'accueil médical des victimes avant la phase de décontamination, Bertrand Leroux a passé,
desert boot femme tod,hier matin, plus de trois heures dans la cour de l'h?pital Necker à répéter les gestes nécessairesen cas d'attaque terroriste. ? Ce qui m'a le plus étonné, c'est que nous n'avons jamais étédébordés, confie ce médecin anesthésiste du Samu 94. Je pensais qu'on irait beaucoup plus lentement.Mais, au final, on a agi plut?t vite et bien. On n'est jamais prêt à 100 %, mais c'est une situationque nous avions bien anticipée sur le papier. Différents types de scénarios avaient été envisagés.Résultat : nous sommes très près de la réalité. ?Le visage encore couvert de son masque etde ses lunettes de protection, Bertrand ?te lentement le scotch qui relie les gants à la combinaisonblanche et qui permet d'éviter la contamination de la peau. ? Dans un tel cas d'attentat radioactif,nous sommes obligés de suivre une procédure de décontamination. C'est nouveau. Et puis il fautporter cette combinaison qui finalement est assez ergonomique. Je n'ai eu aucun mal à l'enfileret elle permet d'effectuer tous les gestes nécessaires ?, explique-t-il.Mais la tension, liéeau risque de contamination, est-elle la même que pour un accident normal ? ? Je ne dis pas qu'encas d'attentat radioactif il n'y aurait pas un stress supplémentaire, poursuit ce volontaire.Mais vous savez,
chaussures tod, on vit ?a au quotidien. Nous ne sommes pas les docteur Benton de la série Urgences,mais,
disocunt tods, sans vouloir appara?tre prétentieux, on a l'habitude de gérer le stress. ?