L’h?pital Stepping Hill sort de la peur. Rebecca Leighton, une infirmière de 27 ans, suspectée d’avoir empoisonné des patients, causant le décès de certains
robes de soirée pas cher, a été arrêtée par Scotland Yard. Mais l’enquête, menée par plus de 60 détectives, a été laborieuse. Tout a commencé lorsqu’une infirmière expérimentée a remarqué que plus de patients que la normale subissaient des baisses importantes de leur taux de sucre dans le sang, début juillet. La professionnelle prévient sa hiérarchie, qui ne peut que constater les chiffres alarmants. La police est alors appelée
robe de soirée, il y a neuf jours de cela. Dans un premier temps, les membres du personnel ont été contraints à travailler en duo lors de la vérification et de l’administration de médicaments, explique ?The Guardian?. Il est également décidé qu’une seule personne détienne la clé du local où étaient stockés les produits. La vérité affleure vite à la surface après les premières vérifications: quelqu’un a volontairement injecté de l’insuline dans 36 fioles de solution saline dans le but d’endommager la santé
robes de soirée pas cher, voire de tuer
robes de soirée, certains patients.
La première victime a été Tracey Arden. Atteinte de sclérose en plaques depuis 12 ans, la patiente de 44 ans avait été admise à l’h?pital en raison de complications liées à sa maladie le 7 juillet. Ses parents, qui étaient venus lui rendre visite le jour de son arrivée �également celui de son décès, l’avaient trouvée en bonne forme. Seulement, en deux heures, son état s’est détérioré, sans que les médecins ne puissent la sauver. Sa mort a rapidement été suivie de celle de George Keep, 84 ans, et d’Arnold Lancaster, 71 ans. Ce dernier est décédé le 11 juillet. Quant au premier, homme d’affaires à la retraite, il était entré à l’h?pital le 27 juin après une chute qui lui avait provoqué une fracture de la hanche. Sa récupération semblait bien se passer, mais sa santé a rapidement décliné
robe de soirée pas cher, et les médecins ont lutté pendant six jours pour le maintenir en vie, à renfort de poches de sang et de solution saline pour le maintenir hydraté. Il est décédé le 14 juillet.
Le Stepping Hilla a annoncé ce jeudi deux nouvelles victimes supposées de l’empoisonneuse, un homme de 83 ans et une femme de 84 ans. Le premier a succombé aux conséquences d’une crise d’hypoglycémie le 11 juillet. L’autopsie de la dernière n’a en revanche pas permis d’identifier de cause de la mort, et la police a précisé que prouver le lien entre les empoisonnements à l’insuline et les causes de décès sera un travail ?long et complexe?. Un homme de 41 ans est toujours dans un état critique pour les mêmes maux. Un acteur de 23 ans, diabétique, se dit victime de l’empoisonneuse. Sam Edge a expliqué au ?Daily Mail? avoir re?u une perfusion de solution saline le 9 juillet, qui lui aurait provoqué de brusques chutes de son taux de glycémie.
DOUBLE PERSONNALITé DE LA SUSPECTE?
L’entourage de Rebecca Leighton a été plus que surpris d’apprendre son arrestation, mercredi au soir, dans le petit appartement qu’elle partage avec son fiancé. A 27 ans, elle travaille dans le même h?pital que sa mère, infirmière chargée des formations. Son profil Facebook, qui provoque le scandale outre-Manche, la montre fêtarde, souvent une bouteille à la main
robe de soirée pas cher, évoquant ses nombreuses soirées entre amis. Ces derniers la décrivent comme ?adorable et heureuse?, dans les colonnes du ?Daily Mail?. Ils sont littéralement sous le choc. ?Elle travaille au Stepping Hill depuis longtemps, elle y a fait se place. Elle adorait être une infirmière. Je suis choqué, je n’arrive pas à y croire?
robes de soirée, a expliqué Gavin Heaton. ??a doit être un énorme malentendu. Rebecca est juste une fille bien, elle est géniale.? Le gérant de la boutique en bas de chez elle, Hamid Bayatpoor, la voit souvent: ?Elle vient tout le temps dans son uniforme d’infirmière, elle achète du vin et des cigarettes?. Il poursuit au ?Daily Mail?: ?Mais le week-end, elle est toute habillée
robe de soirée, elle porte des
robes de soirée. C’est une fille très gentille, toujours rieuse et souriante. Je suis très surpris qu’elle ait été arrêtée?.
Elle exprimait pourtant sur le réseau social une réelle lassitude. Fatiguée du rythme éprouvant lié à son métier, elle alimentait régulièrement son profil de photos et de statuts: ?Que puis-je dire, je suis une fille du genre heureuse et chanceuse, qui adore le week-end (si je ne travaille pas) et qui aime rire avec ceux que j’appelle mes amis, à juste raison?. Le soir de l’arrivée des policiers au sein de l’h?pital, Rebecca Leighton postait un mystérieux: ?C’est de ?a qu’il s’agit?.